Véritable phénomène interplanétaire, les Beatles ont littéralement rendus folle toute une génération de groupies par leur musique, les thèmes de leurs chansons, leurs guitares électriques mais aussi leur look totalement craquant de dandy britannique avec costume et mèche dans le vent. Une popularité incroyable faisant la fierté de la ville de Liverpool, fief du groupe, à tel point que son université crée en 2009 un master visant à enseigner l’univers des Beatles mais également le contexte dans lequel ils ont pu évoluer. Petite plongée rock n’ roll auprès de Lennon et Mc Cartney, en plein cœur des années 60 avec Formation actus…
Un master sur un groupe de légende
Bien plus qu’un simple cursus relatant l’ensemble de la discographie Oh combien importante de ce groupe mythique, le master proposé par cette université de Grande Bretagne propose de s’imprégner du contexte historique, politique et social permettant notamment d’expliquer l’ampleur inconsidérée de ce phénomène musical, qui plusieurs décennies après, reste toujours une référence incontestable de la culture populaire pour le monde entier.
Partie intégrante du département Art de l’université, ce master profondément culturel, intitulé « The Beatles, popular music and society » a séduit quelques irréductibles, à l’instar de la Canadienne Mary-Lu Zahalan-Kennedy, première diplômée au monde de cette formation des plus atypiques.
De la musique Pop à l’université
Plusieurs aspects de ce groupe à la verve Rock n’ roll sont abordés à travers différents modules, offrant notamment une vision des plus nettes de la manière avec laquelle il a réussi à définir les identités, une culture, mais également toute une société. Sont également abordés des classiques comme l’influence directe de la ville de Liverpool sur leur écriture mais également l’analyse de leur répertoire musical et de leurs sons.
En somme, une formation loin de se faire en survol et foncièrement académique qui ouvre le débat sur l’intérêt sociologique de rendre accessible des thèmes similaires à l’université, face à la pertinence d’une analyse sociétale globale pouvant expliquer certaines causes à effets.
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