Que l’on soit:
- étudiant,
- assistant(e) de direction
- ou que l’on cherche tout bonnement à gagner en efficacité et en temps concernant la prise de notes..
Dans tous les cas, apprendre la sténographie s’avère être un choix de formation judicieux. Très prisée par les secrétaires pendant des années, cette méthode de travail longtemps mise de coté revient en force dernièrement. Focus sur cet art du raccourci graphique…
« L’art d’écrire rapidement »
Le souhait d’écrire à la vitesse de la parole ne date pas d’aujourd’hui. De tout temps la volonté de l’homme à chercher une méthode afin d’optimiser sa prise de note est constatée.
- Abréviations,
- hiéroglyphes ou encore
- formes logographiques..
Les possibilités pour gagner du temps et assurer une retranscription fidèle sont nombreuses.
Dans le domaine juridique, parlementaire mais aussi médical afin de retranscrire des comptes-rendus ou de rédiger des courriers sur demande, la sténographie est de nouveau plébiscitée au détriment de l’enregistrement. Ecriture simplifiée principalement formée de signes, elle est un atout qui fait mouche sur un CV. Rapidité, opérationnalité mais aussi curiosité et capacité d’analyse seront considérées par votre recruteur potentiel à la lumière d’une formation en sténo.
« Trois méthodes à découvrir »
Les prétendants à ce type de formation ont le choix. Apprendre seul à la maison sans le soutien d’une personne pour dicter, ne permettrait pas réellement d’acquérir l’un des éléments indispensables à la bonne maîtrise de la sténo : la vitesse. Trois méthodes efficaces s’offrent à vous :
- Méthode Duployé : premier chapitre d’une méthode Duployé sur le site de l’Institut sténographique suisse Duployé.
- Méthode Gregg sur le site personnel d’Andrew Owen.
Et enfin :
- Deutsche Einheitskurzschrift (DEK), définie dans Wiener Urkunde. Version en ligne d’un manuel paru sur papier (chaque paragraphe s’ouvre dans une nouvelle page…).
Une manière intelligente de mettre toutes les chances de son coté pour faire la différence.