Etudes à l’étranger : les pistes pour une mobilité réussie !

La mobilité – lorsque l’on fait ses études – est une composante importante à ajouter à son CV. En France, le dispositif et les échanges sont importants en Europe et dans le monde. Point sur les différentes possibilités qui s’offrent aux étudiants.

Partir via les programmes d’échanges

L’Europe permet aux étudiants pendant leur formation de pouvoir aller à la découverte d’un autre pays, d’une autre culture. L’échange permet un certain confort : le cadre est prédéfini, des bourses existent et nous pouvons bénéficier de l’expérience de ceux qui ont déjà sauté le pas. Voici les trois programmes d’échange que nous avons sélectionné parmi ceux existants.

  • L’incontournable Erasmus qu’il n’est presque plus utile de présenter. Pendant ses études supérieures, l’étudiant peut se rendre en année de mobilité. Une liste de trente pays est disponible, dont les 27 de l’Union Européenne et l’Islande, la Norvège et le Liechtenstein, et enfin la Turquie.
  • Erasmus Mundus est un programme d’excellence pour la promotion des masters de haut niveau par un consortium de trois universités dans trois pays minimum.
  • Les écoles proposent de plus en plus des programmes d’échanges avec des établissements privés ou publics à l’étranger. L’international est un argument phare en terme de formation aujourd’hui. C’est pourquoi il faut être attentif au choix de sa destination. Bien se renseigner sur la formation suivie dans le cadre de cette mobilité et être sûr de la reconnaissance de cette formation dans le pays et au-delà de ses frontières.

Trouver sa formation seul(e)

Liberté ! Partir seul signifie : vivre l’expérience pleinement sans cadre et sans attaches. Elle peut être financée personnellement, ou dans le cas des étudiants salariés, elle peut entrer dans le cadre d’un DIF (Droit à la Formation Individuelle). Il suffit que la formation apporte un plus au sein de la société pour que celle-ci soit accordée.

 

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